Lori me donnait souvent rendez-vous dans un café de Montréal. Elle arrivait chaque fois une heure ou deux avant moi pour pouvoir y travailler. Je la trouvais assise devant son…
(aparté), c’est la voix d’Alto.
C’est un magazine où on découvre des inédits, des entretiens, des extraits, des confidences, des portfolios.
C’est une infolettre qui propose à ses abonné·e·s des concours, des surprises et des primeurs.
C’est un balado qui offre une fenêtre sur les métiers du livre et leurs aspects les plus méconnus.
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Lori me donnait souvent rendez-vous dans un café de Montréal. Elle arrivait chaque fois une heure ou deux avant moi pour pouvoir y travailler. Je la trouvais assise devant son…
Rencontre avec le créateur d'Utopia Avenue, un groupe folk rock psychédélique du Londres des années 1960.
Pour illustrer la couverture de Jones, nous avons collaboré avec Camille Trudel, qui a créé une oeuvre unique en écho au texte.
Jones est le récit bouleversant d’une enfance meurtrie, révélant – non sans un humour acéré et simultanément – la force des liens fraternels et la douloureuse frontière entre l’amour et la violence. Neil Smith nous confie ce qui l’a poussé à raconter son histoire, ce besoin de vaincre la peur des monstres tapis dans les recoins – d’ouvrir la lumière non pas pour les faire disparaître, mais pour les révéler au grand jour.
Dix textes sont nés d'un atelier de création littéraire sur l’écofiction offert dans le cadre de l’École d’été de l’Institut du nouveau monde; dix nouvelles d’écofiction qui abordent la crise écologique et le rapport à la nature sous des angles aussi différents qu’originaux.
Le nouveau roman de Heather O’Neill se déploie en partie dans le Montréal opulent du xixe siècle, où les deux protagonistes, Sadie et Marie, entretiennent une relation si passionnément destructive qu’elle interfère avec le cours de l’histoire. L’autrice, fée marraine des marginaux, des orphelin·e·s rêveur·se·s et autres non conformistes, raconte l’inspiration qu’elle a puisée dans sa fréquentation des manoirs du Mile doré, aujourd’hui accessibles autrement qu’à une poignée d’hommes riches, architectures témoins d’une revanche de la misère sur la bourgeoisie.
C’est tout naturellement que l’esthétique – entière, lumineuse, fluviale – de Stéphanie Robert s’est imposée pour enjoliver la couverture du livre de Dominique Fortier.
Une BD entremêlant indicible horreur lovecraftienne et histoire de la ville de Québec : parce que le projet n’est pas banal et que sa naissance l’est encore moins, nous avons confié à Michel Giguère, véritable homme-orchestre de la bande dessinée, le mandat d’en dépeindre les origines.
Dans Couleur chair, Bianca Joubert nous entraîne dans une enquête intime et généalogique. Un voyage au cœur de la mémoire (individuelle et collective, consignée ou oubliée), aux frontières de la littérature et de l’Histoire, qui nous amène à en explorer les envers, les creux, les contre-jours. Où les traces du passé dessinent la vie de ses ancêtres et exposent un monde qui a tourné le dos à sa nature métissée. Entretien avec l’autrice.
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